Joe Vitale et le Dr Hew Len
J'utilise cette méthode hawaïenne de nettoyage des mémoires, qui signifie rectifier une erreur en complément de PSYCH-K. Faire des reprogrammations n'empêche pas de clarifier et assainir toujours et encore ce qui se passe dans notre inconscient.
Selon ho'oponopono, nos actes sont guidés, soit par inspiration divine, soit par des mémoires.
Quand l'inspiration divine nous guide, tout est facile. On dit qu'on est «aligné».
Les mémoires, quant à elles, se manifestent par de l'inconfort, des peurs, des difficultés, des blocages d'énergie, des conflits, des indispositions.
Que faire ? Comment pratiquer ?
1) Reconnaître notre responsabilité à 100 %. Nous attirons à nous les expériences liées à ces mémoires internes (l'extérieur est le reflet de l'intérieur). Ce qui ne veut pas dire culpabiliser et s'accuser.
Certaines mémoires ne nous appartiennent même pas : elles sont transmises par lien inter-générationnel (lignée familiale, ancêtres) ou sont présentes dans l'inconscient collectif, ou viennent de vies antérieures.
2) Se connecter à sa divinité intérieure : «divinité nettoie en moi ce qui contribue à ce problème»
La divinité en nous sait exactement ce qu'il faut faire et comment.
3) Utiliser les phrases du processus de nettoyage : «je suis désolé, s'il te plait pardonne-moi, merci, je t'aime»
- je suis désolé : je n'ai aucune idée de ce qui en moi a favorisé la cocréation de cette expérience, de cette situation, de cette personne et de son comportement. Je n'en suis pas conscient, mais je l'accepte dans ma vie.
- s'il te plait pardonne-moi : pour ne pas savoir, ni comprendre comment j'ai pu d'une façon ou d'une autre, inviter cela dans ma vie. La divinité m'aide à me pardonner.
- merci : est l'expression de ma gratitude et ma foi dans le fait que tout sera résolu dans le bien de tous.
Morrnah Simonea
- je t'aime : transmue l'énergie bloquée en énergie circulante, en m'unissant à nouveau à ce qui est divin.
Cette méthode était au départ une thérapie de groupe : tous les acteurs d'un même problème étaient présents, la séance était dirigé par un shaman.
Morrnah Nalamaku Simonea en a modifié certains aspects pour en faire une méthode individuelle. Elle a initié le Dr Ihaleakala Hew Len qui est aujourd'hui son successeur.
EN NETTOYANT EN MOI, JE NETTOIE CHEZ LES AUTRES :
C'est ainsi que le Dr Hew Len, a travaillé pendant 3 ans à l'asile de Hawaï, au département UFSI (Unité fermée sous sécurité intensive) qui logeait des détenus ayant commis des crimes haineux, certains souffrants de graves désordres mentaux. Ces détenus étaient pour la plupart entravés, menottés et sous hautes doses de médicaments. Le personnel changeait sans arrêt, tant les problèmes étaient nombreux et tant le lieu transpirait l'insécurité.
Tel était l'état des choses à l'arrivée du Dr Hew Len. Celui-ci se mit à pratiquer la méthode ho'oponopono depuis son bureau, sans jamais voir un seul détenu. Petit à petit, il y eu une évolution : les salles d'isolement ont commencé à être inutilisées, les médicaments à être diminués, les détenus de moins en moins entravés et la situation évolua jusqu'à la fermeture complète du centre qui avait perdu son utilité.
Que fit le Dr Hew Len pendant ces 3 ans : il prenait un dossier, le lisait et disait : «Divinité, quelle est la partie de moi responsable de cela, qu'est-ce qui en moi a créé cela ? S'il te plait, nettoie cela. Je m'excuse. Pardon. Merci. Je t'aime.»
"L'identité de Soi par Ho'oponopono est un processus de résolution de problème par le pardon, la repentance et la transmutation que tout le monde peut utiliser. C'est un processus de requête adressée à la Divinité pour lui demander de convertir les mémoires erronées qui se trouvent dans le subconscient pour les ramener à zéro, à n'être plus rien." Dr Hew Len
Ce que vous pouvez déjà faire : avec mes pensées de jugement, d'insatisfaction, de mépris, d'agressivité, je nourris l'inconscient collectif et par la même la source de la violence. Je prends conscience de cela, je reconnais ma responsabilité et je pratique le nettoyage "je m'excuse, pardon, merci, je t'aime".